Après mise du grain en cellule, en magasin à plat ou en big-bag, il s’établit au bout d’un certain temps un équilibre entre l’humidité relative de l’air (l’hygrométrie) dans la masse des grains et la teneur en eau du grain mesurée à l’humidimètre. Cette correspondance « activité de l’eau du grain et teneur en eau mesurée » peut être représentée graphiquement par un « isotherme de sorption » (figure 3).
Exemple : Quand l’humidité relative entre les grains est stable à 70% de saturation (= activité de l’eau dans le grain de 0,70), cela correspond à une teneur en eau mesurée à 14,5% pour le blé, à 11,5% pour le soja et à 8,2% pour le tournesol (à température fixe de 20°C).